25 Jan

 « Histoire des Arts » : une semaine à Paris

Lundi 13 janvier matin

L’exposition sur les Tang : une plongée dans l’âge d’or de la Chine…


Nous avons eu la chance de visiter une exposition dédiée à l’art et à la culture de la dynastie Tang, une période considérée comme l’âge d’or de la Chine (618-907). Nous ne savions pas vraiment à quoi nous attendre, mais cette visite nous a complètement transportés au sein de la culture asiatique, cosmopolite et raffinée.
Entre les céramiques délicates, les statuettes de chevaux détaillées et les bijoux d’or et de jade, nous avons pu observer la diversité culturelle de l’époque. L’artisanat Tang recèle de véritables trésors : ceintures, boucles, joncs et blouses tissées témoignent de cette quête de perfection artistique. C’est particulièrement autour de la ville de Chang’an (
長安) que les échanges commerciaux, diplomatiques et artistiques ont permis la construction de cette culture cosmopolite.
Cependant, l’exposition ne se limitait pas simplement aux objets luxueux. Il y avait aussi des éléments témoignant des croyances spirituelles des Tang : des statues de Bouddha, déclinées en différentes tailles et matières, dégageaient toutes une sérénité incroyable.
Ainsi, cette visite nous a fait comprendre que la dynastie Tang n’était pas seulement une époque de prospérité matérielle, mais aussi un moment où les arts et les idées s’épanouissaient.
Pauline LE CAM, Tiphaine de RIVIÈRE, Louise MÉNARD, Agathe VIN et Anne DUCAMP de VITRAC

Lundi 13 janvier après-midi

Bourse de Commerce, 1er arrondissement…

Après notre fascinante plongée dans la culture raffinée de la dynastie Tang, notre après-midi s’est déroulé dans un cadre résolument différent, mais tout aussi captivant. Nous avons visité la Bourse de Commerce, et découvert un lieu unique où se côtoient architecture contemporaine et art moderne. L’exposition mettait en lumière le mouvement « Arte Povera », un courant artistique né en Italie dans les années 1960.

Nous avons observé différentes œuvres d’art contemporain, dont le sens nous serait resté mystérieux s’il n’y avait pas eu l’explication de la guide pour nous aiguiser… Contrairement à l’opulence des Tang, l’ « Arte Povera » est assez simple et les artistes exposés travaillaient avec des matériaux modestes comme le bois, la pierre, le tissu, le métal et s’amusaient à détourner des objets du quotidien pour en faire des œuvres d’art puissantes. Les treize principaux protagonistes de l’ « Arte Povera » sont Giovanni Anselmo, Alighiero Boetti, Pier Paolo Calzolari, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Mario Merz, Marisa Merz, Giulio Paolini, Pino Pascali, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto, Emilio Prini et Gilberto Zorio. Les démarches des artistes étaient de tous genres ; certains des artistes s’engagent contre la surconsommation du textile, d’autres explorent des théories mathématiques, d’autres encore étudient le passage du temps et son influence sur les éléments naturels.

Parmi les artistes exposés, nous avons notamment découvert en détail les travaux de Giulio Paolini, une figure majeure de ce mouvement. Ses œuvres, très mêlées à la nature, sont souvent des introspections de l’artiste lui-même. Entre simplicité et impact visuel, il propose une réflexion sur la société et la nature. La reproduction réaliste d’une pierre trouvée dans un fleuve illustre ce lien entre l’humain et cette nature. 

En conclusion, cet après-midi à la Bourse de Commerce nous a rappelé que l’art, même à partir des éléments les plus humbles, peut exprimer des idées universelles.

Mardi 14 janvier matin

Ce matin, nous avons visité, pour la partie consacrée au design, le Musée des Arts décoratifs. Il se trouve dans un des bâtiments du Louvre, dans le premier arrondissement de Paris. Ce musée a été inauguré en 1905, puis réaménagé en 1996, afin que les jeunes générations de créateurs et de designers puissent venir voir les origines du passé pour s’en inspirer et ainsi construire, penser le futur. Il est principalement constitué de dons, de legs de collectionneurs dans les domaines du mobilier et de l’ébénesterie .
Par la suite, nous sommes allés à l’étage consacré au design du mobilier, art de la table, mide et textile et l’évolution des chaises. Nous nous sommes donc interrogé sur ce qu’est le design. Nous avons conclu que cela représentait simplement tout objet créé, utile ou inutile, pensé par un créateur. Ainsi, le design peut être ou non de l’art, peut être industrialisé ou unique. La perception varie en fonction de chaque designer.
Le design est présent au quotidien, sous toutes les formes et à travers différentes matières, différents matériaux, naturels ou industriels.
Ainsi, aujourd’hui, le design est posé sur des questions éthiques et écologiques. On se demande alors ce qu’est vraiment le luxe…
Nous avons également eu la chance d’observer rapidement les œuvres de l’exposition temporaire sur l’intime.
Camille, Eliott et Chloé

Mardi 14 janvier après-midi

Visite de la Cité : Conciergerie et Notre-Dame !


L’île de la Cité, anciennement appelée Lutèce, a été un lieu de pouvoir au cœur de Paris pendant des siècles. En outre, c’était un emplacement stratégique pour ses fortifications. Nous avons donc pu, au sein de celle-ci, visiter la cathédrale Notre-Dame de Paris, ainsi que la Conciergerie.
La Conciergerie était la plus grande prison de Paris qui enfermait plus de 3000 prisonniers et prisonnières. Pendant la Révolution française, la Conciergerie devint un des hauts lieux de détention, avec l’installation du tribunal révolutionnaire. Sa prisonnière la plus célèbre est Marie Antoinette, qui fut incarcérée pendant 3 mois. Sous la Révolution, la Conciergerie continue d’être un des centres de la vie politique de la capitale. Alors que la France entre en guerre civile, la prison se remplit rapidement des nombreux suspects, accusés de menacer la république. Le couloir des prisonniers, contient à gauche le bureau du concierge où les prisonniers pouvaient, moyennant finances, accéder à un traitement différent. À droite, se trouvait le guichet du greffier chargé d’enregistrer les détenus. Ceux là étaient également traités de différentes manières en fonction de leur classe sociale : les plus pauvres vivaient à plusieurs dans des cachots collectifs ; d’autres, plus aisés, étaient logés à deux dans des cachots plus confortables ; et enfin, les détenus dits remarquables avaient accès à un cachot individuel.
La cour des femmes servait de promenade aux prisonnières pendant la journée. Elles pouvaient se laver grâce à une fontaine, y frotter le linge et dire adieu aux hommes qui partaient pour l’échafaud.
Ensuite, nous nous sommes rendus à l’ancienne cellule de Marie Antoinette, réaménagée en chapelle en 1815. Au sein de celle-ci, nous avons pu remarquer certains détails indiquant une présence royale tel que la fleur de lys peinte sur le mur avec d’autres attributs comme le rameau de palmier. Sur les murs, nous avons pu admirer des tableaux représentant Marie Antoinette le jour de son exécution, ainsi que des objets ayant soi-disant appartenus à celle-ci. Au XIVe siècle, un concierge est nommé par le roi, pour assurer la justice dans le palais qui sera transformé en prison. C’est de là que viendra le nom de Conciergerie.
Ensuite, après un rapide visionnage d’une vidéo 3D nous montrant le château à l’époque, nous sommes sortis de la Conciergerie.
Après cette visite, nous sommes allés à Notre-Dame de Paris. La guide nous a raconté l’histoire de la cathédrale : son temps de construction qui a duré deux siècles ou son aspect architectural. Elle nous a également narré quelques récits bibliques présents sur la façade sous forme de statues.
Ensuite nous avons pu entrer et admirer la magnifique restauration. Un moment magique ! Sublime même !

Louise LACHKAR, Margot LEGALLOIS, Faustine REGARD, Charlotte LELEBVRE

 

Mardi 14 janvier soir

Balade nocturne en bateau mouche sur la Seine Parisienne

Ce mardi soir, nous sommes partis, du pont de l’Alma jusqu’au Port de la Conférence (créé en 1953), pour une expérience exceptionnelle à bord d’un « bateau mouche ».

Tout d’abord, nous sommes arrivés au niveau de la place de la Concorde créée en 1763 dans le 8e arrondissement. Cette place fait partie des cinq places royales parisiennes. C’est d’ailleurs à ce moment que Lancelot fêta son anniversaire accompagné de ses amis. 

Ensuite, nous sommes passés devant deux musées emblématiques de la ville de Paris : le Musée du Louvre et le Musée d’Orsay créés respectivement en 1793 et 1977. L’éclairage magnifique de ces deux bâtiments mémorables nous a permis d’observer la sublime beauté extérieure des musées. Nous avons fait demi-tour avant le Pont des Arts ce qui nous a permis d’avoir une vue incroyable en face de la Seine et du Palais de Justice sur l’île de la Cité.

Puis nous sommes partis vers deux monuments incontournables de cette ville magique : la Tour Eiffel et les Invalides. L’éclairage éclatant des luminaires mettait en valeur toute la beauté de ces monuments et de leur histoire ou leur architecture. 

Après, nous sommes allés vers l’Allée des Cygnes où nous avons pu observer la réplique miniaturisée de la statue de la liberté (offerte en 1885) offerte à la France par le Comité des Américains de Paris pour célébrer le centenaire de la Révolution française. 

Enfin, nous avons débarqué au Port de la Conférence. Avant de faire une halte au Pont d’Alma où nous avons observé la Tour Eiffel scintiller de toute sa splendeur. 

Pour conclure, cette sortie restera gravée dans notre mémoire de tous, faisant de ce moment un moment inoubliable pour chacun d’entre nous. Ces images nocturnes de la ville de Paris seront des souvenirs magiques qui nous poursuivront.

Mercredi 15 janvier matin

Nous avons pu observer la collection temporaire (du 11 octobre 2024 au 9 février 2025) sur l’âge atomique. Cet âge ne connaîtra jamais de fin. Cette ère a commencé suite au premier essai atomique qui a eu lieu dans le désert du Nouveau Mexique. A partir des années 1890, les scientifiques européens ont démontrer que l’atome n’était pas l’élément ultime de la matière et que la matière pouvait être pénétrée par des rayons invisibles ou de la radioactivité. Ces rayons vont être utilisés dans l’art. Comme les artistes Pierre Huyghe et Jemy Jaskey avec leur œuvre Dance for Radium et l’œuvre Uranium (Pink) de Signar Polke qui montre un tirage chromogène en couleur que peut se rapporter, en physique, à une chromatographie. L’Art atomique a aussi servi durant la seconde Guerre mondiale, notamment durant les attaques de Fukushima et Nagasaki en 1945. Ce qui a inspiré de nombreux artistes, notamment les photographes comme l’artiste Hiromi Tsuchida, qui a cherché à illustrer l’horreur de la vie que les habitants ont pu vivre lors de ces atrocités. Le musée retrace également l’histoire de la bombe atomique. Pour conclure, nous pouvons dire que cette exposition fait un lien entre la physique et l’art.

Emeline, Marie et Amaury

Mercredi 15 janvier après-midi

Cet après midi , nous avons visité le Musée des Arts et Métiers, créé en 1794. Ce musée a pour mission de conserver les instruments et machines du patrimoine scientifique tout en nous transmettant leur histoire.

Il abrite une collection exceptionnelle de plus de 80 000 objets, dont 77 000 stockés près du Parc des Princes, retraçant l’évolution des techniques et des inventions humaines. 

Parmi les machines emblématiques, on peut retrouver le Pendule de Foucault, qui a permis de démontrer la rotation de la Terre, ou encore les premières automobiles ou les prototypes d’avions.

En outre , il est divisé en plusieurs espaces dédiés aux instruments scientifiques, matériaux, mécaniques, transports, etc.

Pour conclure, ce musée retrace l’évolution des sciences et des techniques, montrant l’ingéniosité de l’humain et ses grandes innovations qui ont fait évoluer notre monde au fil du temps. 

Raphaëlle, Camille et Elio

Jeudi 16 janvier après-midi

Visite de Montmartre

Après notre déjeuner au restaurant « Chez Eugène », place du Tertre à Montmartre, nous avons retrouvé notre guide, qui nous a distribué des casques devant la porte de l’artiste Maurice Neumont, réalisée en 1930. Cette porte est tirée du courant « Art nouveau ». On  pouvait voir sur la façade en bronze, une toile d’araignée pour le judas, des courbes florales révélant son aspect fantaisiste.

Nous nous sommes ensuite rendus sur la Place du Tertre. Nous y avons découvert un grand bâtiment blanc, servant, avant le rattachement de Montmartre à la ville de Paris en 1860, de Mairie.

Le guide nous révèle alors que les habitants de Montmartre ont encore aujourd’hui un sentiment d’appartenance à Montmartre, comme si Paris n’était pas leur ville… 

Nous avons également pu observer la présence sur cette place de clous en laiton numérotés désignant les emplacements des artistes de la place, qui, s’ils veulent peindre et vendre, doivent passer un concours de technicité auprès de l’Académie des Beaux-Arts pour y être acceptés.

Nous nous sommes ensuite dirigés vers l’église Saint-Pierre, où  se trouvait un ancien temple dédié au dieu Mars à l’époque gallo-romaine. C’est donc de l’étymologie Mons Martis, « Mont de Mars » que vient le nom de la ville Montmartre. De ce temple ne reste aujourd’hui qu’un cimetière. La supposition que le nom de Montmartre vienne du « Mont des Martyrs » est, d’après notre guide, fausse. Notre guide nous a raconté l’origine de l’église devant laquelle nous nous trouvions. Au XIIe siècle, cette ancienne basilique mérovingienne, dédiée à Saint-Denis, fut reconstruite en une abbaye bénédictine, dont tous les travaux furent financés par le roi Louis XI. Après la mort du roi, sa femme, Adélaïde de Savoie, devient mère abesse.

La façade de l’église fut rénovée au XVIIIe siècle, et représente les actes des apôtres, sculptés dans le bronze.

Dans l’église, au XVe siècle, les croisées d’ogives en pierre ont remplacé le toit en bois, mais celles-ci affaiblirent beaucoup l’église. Les vitraux, quant à eux, ont été refait au XIXe siècle par Max Ingrand.

Cette église comporte quelques particularités, qui nous ont été détaillées. 

Les vitraux sont de forme géométriques depuis la rénovation très importante dont nous avons déjà parlé précédemment. 

À gauche on retrouve Saint Pierre, Jésus crucifié est au centre et Saint Denis à droite. Selon la légende, lorsqu’il fut décapité, il a marché 6 kilomètres avant de tomber raide mort. Saint Denis fut désigné martyr, puisqu’il fut décapité.

Nous avons continué la visite, en nous arrêtant régulièrement devant des lieux, habitations et places emblématiques, par exemple la statue du Chevalier de La Barre.

Nous avons pu observer le parvis de la Basilique, où notre guide nous a montré les statues de Saint Louis tenant la couronne d’épines du Christ, et celle de Jeanne d’arc, symboliques chrétiennes fortes et assumées par Paul Abadie, son architecte. La Basilique, achevée en 1920, est un mélange de plusieurs styles d’architectures, dont les coupoles de tradition byzantine et les arcades romanes.

À l’intérieur de la basilique, nous avons pu observer la grande mosaïque dans le chœur, représentant le Christ entouré de saints et de principaux donateurs qui ont permis sa  construction .

Des vitraux, plus récents, ornent les murs réalisés par Théo Hanssen au XXe siècle

Les fenêtres des chapelles ont été inspirées de l’art roman et lombard, prouvant un désir de mélange de styles.

Nous avons ensuite continué la visite de Montmartre, en passant par le dernier château d’eau, le Musée Montmartre, la « maison rose » de Maurice Utrillo, le « moulin de la Galette » et enfin, l’atelier de Picasso.

Une journée riche en découvertes.

Clélia HORRIE et Amaury CHATTELIER

Vendredi 17 janvier

Le Musée de Cluny, en plein cœur de Paris, est une véritable plongée dans le Moyen Âge. Entre les thermes gallo-romains, vestiges de l’Antiquité, et l’hôtel gothique du XVe siècle, le lieu dégage une ambiance unique, chargée d’histoire. Dès qu’on entre, on se sent transporté dans une autre époque.
L’œuvre la plus reconnue, est sans aucun doute « La Tenture de la Dame à la Licorne ». Cette série de six tapisseries du XVe siècle est tout simplement magnifique. Les détails, les couleurs, l’atmosphère magique qui s’en dégage… Tout est captivant. La licorne, qui revient dans chaque scène, semble entourée de mystères et de symboles, et on ne peut s’empêcher d’essayer de déchiffrer ce qu’elle représente. Cette série représente les cinq sens, et la sixième tapisserie représente le choix qui, au Moyen Âge, était un sens.
Un autre objet impressionnant, c’est la Rose en or. Ce petit bijou d’orfèvrerie est d’une finesse incroyable. L’éclat de l’or et la précision du travail montrent à quel point les artisans de l’époque maîtrisaient leur art. Ce genre d’objet n’était pas seulement beau, il avait aussi une forte valeur symbolique et était offert par la Pape en échange de services pour lui-même. Il en faisait créer une par an.
Les couronnes Wisigothes sont tout aussi fascinantes. Ces couronnes, décorées de pierres précieuses et retrouvées en Espagne, servaient à la fois à afficher la puissance des rois et à exprimer leur foi. Elles sont imposantes et raffinées, et leur histoire, entre richesse et spiritualité, les rend encore plus intéressantes.
Enfin, il y a le pilier de Notre-Dame de Paris, une pièce impressionnante qui montre tout le talent des sculpteurs de l’époque gothique. Ce fragment, issu de la célèbre cathédrale, donne un aperçu du soin apporté aux détails et de la grandeur de ces monuments. Nous avons aussi découvert des têtes de statues de la Cathédrale Notre-Dame qui étaient colorées.
Visiter le musée de Cluny, est une réelle expérience pour qui s’intéresse au Moyen Âge. On y découvre des trésors qui nous rapprochent d’une époque lointaine mais fascinante. Le cadre, avec ses vieilles pierres et ses salles empreintes de calme, ajoute encore à l’ambiance.
Agathe VIN

Des Rouennais à Paris, clap de fin !


Quelle découverte pour certains de nos élèves : Paris, la Ville Lumière… Paname, la ville qui, de tout temps, a été  une source d’inspiration intarissable pour les artistes et en particulier pour ceux qui manient la plume avec une certaine dextérité ! Qu’ils soient chanteurs, poètes, écrivains, ou encore peintres, sculpteurs ; ils sont nombreux à avoir capté Paris, au cours des siècles.
Nos chers élèves Rouennais, vous auront, à travers leurs articles,  fait découvrir certains lieux incontournables et leurs expériences artistiques.
Paris c’est aussi son métro, voici quelques portraits volés en guise d’au-revoir. Des élèves qui ont su apprécier ce séjour culturel en restant attentifs et attentionnés les uns pour les autres.
Nathalie LAFON-BILLARD, Professeur en charge de l’Histoire des Arts